Spectacles

SHISHIMAÏ

Shishi (獅子), Esprit de la forêt


"Il va mordre vos têtes pour chasser le malheur et vos démons et pour porter le bonheur et la paix dans le monde !"

Depuis l’Antiquité, les Japonais croient aux divinités de la nature, les kami (神). Ils les reconnaissent dans les montagnes, les arbres, les rochers, mais aussi les animaux et les éléments. Ils les sentent autour d’eux : au creux d’un d’arbre, sous le souffle du vent, dans l’eau d’un torrent. Ces dieux sont ainsi présents dans leur quotidien et coexistent avec eux. On les nomme dieux, esprits, animaux, monstres, fantômes ou yôkai (妖怪). Cette spiritualité est à la racine de la culture japonaise. De nos jours, les êtres humains tendent à négliger la nature. Ils recherchent le bien-être matériel à court terme, la satisfaction immédiate de leurs désirs, cèdent à la facilité. Comment les dieux de la nature perçoivent-ils nos actes ? Au Japon, comme en Inde et dans toute l’Asie, existe une ancienne superstition. 


Depuis l’Antiquité, les Japonais croient aux divinités de la nature, les kami (神). Ils les reconnaissent dans les montagnes, les arbres, les rochers, mais aussi les animaux et les éléments. Ils les sentent autour d’eux : au creux d’un d’arbre, sous le souffle du vent, dans l’eau d’un torrent. Ces dieux sont ainsi présents dans leur quotidien et coexistent avec eux. On les nomme dieux, esprits, animaux, monstres, fantômes ou yôkai (妖怪). Cette spiritualité est à la racine de la culture japonaise. De nos jours, les êtres humains tendent à négliger la nature. Ils recherchent le bien-être matériel à court terme, la satisfaction immédiate de leurs désirs, cèdent à la facilité. Comment les dieux de la nature perçoivent-ils nos actes ? Au Japon, comme en Inde et dans toute l’Asie, existe une ancienne superstition. 

Depuis l’Antiquité, les Japonais croient aux divinités de la nature, les kami (神). Ils les reconnaissent dans les montagnes, les arbres, les rochers, mais aussi les animaux et les éléments. Ils les sentent autour d’eux : au creux d’un d’arbre, sous le souffle du vent, dans l’eau d’un torrent. Ces dieux sont ainsi présents dans leur quotidien et coexistent avec eux. On les nomme dieux, esprits, animaux, monstres, fantômes ou yôkai (妖怪). Cette spiritualité est à la racine de la culture japonaise. De nos jours, les êtres humains tendent à négliger la nature. Ils recherchent le bien-être matériel à court terme, la satisfaction immédiate de leurs désirs, cèdent à la facilité. Comment les dieux de la nature perçoivent-ils nos actes ? Au Japon, comme en Inde et dans toute l’Asie, existe une ancienne superstition. 

Depuis l’Antiquité, les Japonais croient aux divinités de la nature, les kami (神). Ils les reconnaissent dans les montagnes, les arbres, les rochers, mais aussi les animaux et les éléments. Ils les sentent autour d’eux : au creux d’un d’arbre, sous le souffle du vent, dans l’eau d’un torrent. Ces dieux sont ainsi présents dans leur quotidien et coexistent avec eux. On les nomme dieux, esprits, animaux, monstres, fantômes ou yôkai (妖怪). Cette spiritualité est à la racine de la culture japonaise. De nos jours, les êtres humains tendent à négliger la nature. Ils recherchent le bien-être matériel à court terme, la satisfaction immédiate de leurs désirs, cèdent à la facilité. Comment les dieux de la nature perçoivent-ils nos actes ? Au Japon, comme en Inde et dans toute l’Asie, existe une ancienne superstition. 

Depuis l’Antiquité, les Japonais croient aux divinités de la nature, les kami (神). Ils les reconnaissent dans les montagnes, les arbres, les rochers, mais aussi les animaux et les éléments. Ils les sentent autour d’eux : au creux d’un d’arbre, sous le souffle du vent, dans l’eau d’un torrent. Ces dieux sont ainsi présents dans leur quotidien et coexistent avec eux. On les nomme dieux, esprits, animaux, monstres, fantômes ou yôkai (妖怪). Cette spiritualité est à la racine de la culture japonaise. De nos jours, les êtres humains tendent à négliger la nature. Ils recherchent le bien-être matériel à court terme, la satisfaction immédiate de leurs désirs, cèdent à la facilité. Comment les dieux de la nature perçoivent-ils nos actes ? Au Japon, comme en Inde et dans toute l’Asie, existe une ancienne superstition. 

Depuis l’Antiquité, les Japonais croient aux divinités de la nature, les kami (神). Ils les reconnaissent dans les montagnes, les arbres, les rochers, mais aussi les animaux et les éléments. Ils les sentent autour d’eux : au creux d’un d’arbre, sous le souffle du vent, dans l’eau d’un torrent. Ces dieux sont ainsi présents dans leur quotidien et coexistent avec eux. On les nomme dieux, esprits, animaux, monstres, fantômes ou yôkai (妖怪). Cette spiritualité est à la racine de la culture japonaise. De nos jours, les êtres humains tendent à négliger la nature. Ils recherchent le bien-être matériel à court terme, la satisfaction immédiate de leurs désirs, cèdent à la facilité. Comment les dieux de la nature perçoivent-ils nos actes ? Au Japon, comme en Inde et dans toute l’Asie, existe une ancienne superstition. 

PROMENADE DU KITSUNÉ

PROJET ARTISTIQUE 
OUVERT AU SURNATUREL

Esprit à la silhouette de renard issu du folklore japonais, le Kitsuné flâne sans but sur le chemin de la vie, gouverné par sa seule intuition. Souvent, il rencontre d’autres esprits sur son passage et s’engouffre avec eux dans leur univers surnaturel.

Esprit à la silhouette de renard issu du folklore japonais, le Kitsuné flâne sans but sur le chemin de la vie, gouverné par sa seule intuition. Souvent, il rencontre d’autres esprits sur son passage et s’engouffre avec eux dans leur univers surnaturel.

Le Kitsuné passe ainsi un moment en leur compagnie, puis s’évapore à nouveau. Il appartient au règne des yôkai, entité spirituelle que l’on traduit habituellement sous le nom d’esprit-renard. Magicien et polymorphe, il est doté d’une intelligence remarquable qu’il exerce à bon ou à mauvais escient au cours de sa longue vie. C’est pourquoi on parle souvent de « bons » et de « mauvais » Kistuné.

Associés à un esprit gardien dont ils sont les messagers, les premiers sont bienveillants, devinent les intentions d’autrui, et savent se jouer des forces surnaturelles. Les seconds sont espiègles et farceurs : ces « renards des champs » prennent souvent l’apparence d’une femme pour berner les êtres humains.

SAÏ SEI MA 再生間

PROJET ARTISTIQUE
 À GÉOMÉTRIE VARIABLE

Saï Sei Ma 再生間 (Saïsei : reproduction, renaissance, recyclage, Ma : espace, moment, temps) explore les dimensions spatiales et temporelles qui font affleurer à la mémoire des moments passés, des fragments de tradition. La démarche de Saï Sei Ma repose sur l’improvisation saisie dans l’instant, au prisme des émotions. 
Sur scène, avec divers protagonistes, danseurs, graphistes et musiciens...
À travers des projections vidéo, réorchestrées et mises en musique au fil de l’imagination...